Article Centre Presse : Frédéric Lavernhe : "le marché de pays doit avoir lieu début octobre à Bercy !"

Si l’assemblée générale et les retrouvailles d’été au pays ont été reportées, respectivement au lundi 21 septembre 2020 et au jeudi 12 août 2021, la Fédération des Aveyronnais d’ici et d’ailleurs espère très fort que l’événement majeur de son calendrier pourra fêter, comme prévu, son vingtième anniversaire, au pied de L’Oustal à Paris.

Frédéric Lavernhe a fêté ses 53 ans dimanche dernier. Il aurait dû souffler les bougies le lendemain soir, entouré de la grande famille de la Fédération des Aveyronnais d’ici et d’ailleurs, dont il est, avec Pierre Vincens et Robert Moiroux, le président. Mais voilà, un virus est passé par là et l’assemblée générale a été reportée. En effet, si le conseil d’administration est maintenu demain, la grand-messe a ainsi été repositionnée lundi 21 septembre, à 19 heures, dans les Salons de l’Aveyron, à Bercy, dans le 12e arrondissement de Paris. "On pourrait penser que ça ne change pas grand chose mais c’est un moment important dans la vie d’une association, assure Frédéric Lavernhe. Mais, on n’a pas eu le choix".

Il y aurait été question, bien sûr, du marché des pays de l’Aveyron qui a fêté l’an dernier sa 20e édition à Bercy. "Son succès est grandissant, se réjouit Frédéric Lavernhe. Bien sûr son succès populaire avec plus de 60 000 visiteurs en trois jours. Mais, on est aussi très fiers de la dimension économique qu’il a prise. Ainsi que du fait que divers rendez-vous (job dating du conseil départemental, soirée sur une péniche de Centre Presse) se sont greffés. Tout ça a du sens, et sert aussi bien l’Aveyron que Paris".

Et qu’en est-il aujourd’hui du 20e anniversaire qui doit être célébré du 9 au 11 octobre, et dont les invitées d’honneur sont les Entreprises du patrimoine vivant ? "Il aura lieu. Comme prévu avec une organisation qui est dans les temps, lance Frédéric Lavernhe, en croisant les doigts. La commission d’attribution s’est réunie fin mai et on peut annoncer 70 exposants, dont un nouveau". Le président poursuit, avec la même détermination : "On y va pas à pas. à chaque jour suffit sa peine. On ne veut pas émettre d’hypothèses car on deviendrait fous ! S’il ne pouvait pas avoir lieu, oui, ce serait une catastrophe. Pour les exposants car c’est pour eux un poumon économique mais aussi pour la Fédération. ça ne sert à rien de vivre sur l’angoisse du pire !"

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